SAINTE FAUSTINE, La grande apôtre de la miséricorde divine


Même si je dois périr de ta main, j’aurai toujours confiance en Toi, Seigneur » !

(Sœur Faustine Kowalska1905 – 1938)

Sœur Marie Faustine du Très Saint Sacrement, dans le monde Hélène Kowalska originaire d’une famille modeste de la Pologne, fut admise à l’âge de vingt ans comme Sœur converse dans la Congrégation des Religieuses de Notre Dame de la Miséricorde de Pologne, à Varsovie.

Remplissant de modestes charges de cuisinière, jardinière et tourière, toujours calme et équilibrée, elle édifiait par son exemple de piété, tous ceux qui la connaissaient. C’est à cette simple converse, plutôt ignorante et faible mais pleine de confiance en Dieu, signe de contradiction aux yeux du monde, que Jésus daigna rappeler le grand message de Sa Miséricorde infinie avec d’étonnantes paroles.
Ses treize ans de vie cachée, mais combien féconds en grâces, furent une longue conversation avec le Christ, qui lui transmettait le message de Sa Miséricorde.

Les années passées au couvent abondaient en grâces extraordinaires : révélations, visions, stigmates cachés, participation à la Passion du Seigneur, don de bilocation, de pénétrer le cœur des autres, de la prophétie, ou bien le don rarissime de fiançailles et d’épousailles mystiques.
Le vif contact avec Dieu, Notre Dame, les Anges, les Saints, les âmes au purgatoire, tout cet univers surnaturel, lui apparaissait comme étant non moins réel et vrai que celui qu’elle percevait par ses sens. Malgré cette abondance de grâces extraordinaires accordées, elle savait que celles-ci ne décidaient pas de l’essence de la Sainteté.

Elue par le Seigneur Jésus « secrétaire et apôtre » de Sa Miséricorde Divine pour transmettre au monde entier son grand message, Sœur Faustine était un modèle de Sainteté personnelle.
Les témoignages de ses contemporains sont unanimement sur ce point, et c’est une garantie de l’authenticité de sa mission. Elle a fait de toute son existence un chant à la Miséricorde, disait Jean-Paul II, au cours de la messe de canonisation, en lui attribuant la parole du psalmiste :
« Misericordias Domini in aeternum cantabo », « L’Amour du Seigneur, sans fin, je le chante »
(Ps 88,2).

Ses dernières années furent particulièrement douloureuses. Très malade et très faible, elle n’en restait pas moins sereine, souriante et joyeuse. Le Christ épargna les affres de la mort à sa fidèle servante : fixant des yeux la Croix, elle s’éteignit le 05 octobre 1938 à 22 heures 45, pour recevoir sa récompense éternelle à l’âge de trente-trois ans… Comme Notre Seigneur. Simple coïncidence ?
D’ailleurs, elle avait prédit l’année de sa mort… « La mort ne détruit rien de ce qui est bon » (694).
Afin de s’acquitter des devoirs de proclamer et de mettre en pratique le Mystère de la Miséricorde Divine, ainsi que de prier intensément pour implorer cette Miséricorde sur le monde que le Pape Jean-Paul II impose à l’Église tout entière, voici un témoignage de vie, de vocation et de mission de Sainte Sœur Faustine Kowalska, grande apôtre de la Miséricorde Divine.

Béatifiée le 18 avril 1993, et, solennellement canonisée, le 30 avril 2000, par le Saint Père Jean-Paul II à Rome (Italie), en la Fête de la Miséricorde Divine, celle-ci fut instaurée le même jour pour l’Église Universelle.

Association Jésus Miséricordieux – Lomé

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

×

Hello!

Click one of our contacts below to chat on WhatsApp

× Contactez-nous!