Ce qui déçoit et ce qui ne trompe pas

Malheureux, l’homme qui compte sur des mortels. Sa force vive n’est que chair, son cœur se détourne du Seigneur. Il hante la terre salée, inhabitable.

Heureux, l’homme qui compte sur le Maître, qui devient son assurance. Il est pareil à un arbre planté au bord de l’eau qui pousse ses racines vers le ruisseau. Il ne sent pas venir la chaleur. Il ne cesse de fructifier.

Qui peut reconnaître plus que jamais les pensées fourbes et incorrigibles ?

Seul le Maître en est capable. Puisque c’est lui, qui scrute et examine nos sentiments. Il rétribue chacun selon sa conduite et d’après le fruit de ses actes.

Ainsi, une perdrix qui couvre ce qu’elle n’a pas pondu, fait fortune malhonnêtement. Au beau milieu de ses jours, sa fortune l’abandonne. Et sur son déclin, il devient une vraie brute.

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