Flash True Love Sex n.13 : Sexe ou genre : la réponse de l’Afrique

Dans la préface du célèbre livre de Marguerite Peeters Le gender : une norme politique et culturelle mondiale. Outil de discernement, 2012, le cardinal africain Robert Sarah a réagi fortement à l’imposition mondiale de l’idéologie gender : « Il est inadmissible que les Pays occidentaux et les agences de l’Onu imposent aux Pays non occidentaux l’homosexualité et toutes ses déviations morales, en utilisant des arguments économiques… et qu’ils conditionnent l’aide au développement par l’application de normes absurdes, inhumaines… Promouvoir la diversité des « orientations sexuelles » jusque dans les terres africaines, asiatiques, océaniques, sud-américaines signifie conduire le monde à une totale dérive anthropologique et morale : vers la décadence et la destruction de l’humanité ». Courageux ! Qui aurait le droit d’en dire autant de nos jours ? Et pourtant, c’est ce que plusieurs pensent tout bas.

10 ans après cette mise en garde du Card. Sarah, où en sommes-nous ? Depuis des décennies, l’Afrique est le grand continent qui défend la conception naturelle ou innée de l’être humain comme étant créé homme ou femme à la naissance. Sur cette base, dans certains pays, la législation considère l’homosexualité contre nature. Sachant cela, l’UNESCO, organe des Nations Unies en matière d’éducation, s’est fixé comme objectif de son programme mondial appelé Développement durable, l’échéance de 2030 pour la globalisation complète du gender. Dans son cours Principes directeurs internationaux sur l’éducation à la sexualité (ECS), une approche factuelle, enseigné désormais un peu partout dans le monde et en Afrique, l’UNESCO précise l’objectif principal du document : mettre « particulièrement l’accent sur l’égalité des genres et l’Afrique ».

On en arrive ainsi à une contradiction dans nos terres africaines : on accepte le genre (promotion de la femme, égalité des sexes, etc.), mais on refuse l’homosexualité. Tu ne peux pas accepter de l’eau sans le verre qui vient avec. Le genre c’est justement l’homosexualité et ses parallèles. De même pour la régularisation des naissances. Plusieurs acceptent le planning familial, mais refusent l’avortement. Absurde ! Le parenthood planning est justement l’industrie qui finance l’avortement dans le monde. Si tu acceptes l’eau, tôt ou tard le gobelet viendra avec.

Le choix à faire est simple : ou la conception innée de l’être humain comme créé homme ou femme à la naissance tout en respectant qui pense autrement, ou une conception artificielle de l’être humain. Le mouvement écologiste nous enseigne que la nature a ses règles, il faut les respecter, sinon elle-même nous tuera. Cela vaut pour la protection de l’environnement comme pour la protection de la race humaine. Laisse donc de côté tes querelles inutiles avec Henriette et David, tes dépendances sexuelles, tes réticences à aller à la Messe le dimanche et réveille-toi ! En Europe comme en Amérique, ce sont les mouvements Pro-Vie, qui eurent un essor considérable sous saint Jean-Paul II, qui luttent pour la protection de la race humaine dans le monde. L’Afrique a besoin de toi pour les développer.

Chevaliers de la Charité

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