Flash True Love Sex n.14 : Sexe ou genre : la réponse de Dieu et le prophète de malheur
Le gender s’inscrit dans le cadre de la désacralisation progressive de la société qui advient dans tous les pays du monde depuis 1960. Malheureusement, plusieurs s’illusionnent que cette idéologie cherche simplement le développement économique et la cohésion sociale. Pour avoir une opinion plus complète, je pense qu’il est temps de tenter un petit bilan moral de l’humanité.
Ouvre les yeux. Autour de toi tu entends : « parent n.1 et parent n.2 » au lieu de « papa et maman » ; la masturbation des enfants de 0-4 ans ; le changement de sexe offert aux enfants. Jésus n’a-t-il pas condamné durement le scandale aux enfants (cf. Mc 9, 42) ? Ce n’est pas tout, tu entends dire qu’un embryon n’est pas un être humain, on le tue lorsqu’il sort vivant d’un avortement ; la pornographie considérée comme bienfaisante par les organismes internationaux ; permettre les rapports sexuels entre adultes et jeunes à un âge toujours plus bas ; accélérer la mort des personnes âgées ; l’utilisation de bloqueurs de puberté pour choisir son sexe en grandissant ; menaces de supprimer la Sainte Bible car elle véhicule des « idées discriminatoires » ; procès aux gens qui dénoncent ces faits ; la possibilité pour une personne hétérosexuelle de devenir homosexuelle, mais l’inverse défendu par la loi pour ne pas « endommager sa santé » ; considérer fanatique qui s’oppose à ces choses, etc. Voilà le visage du gender. Il est vrai que plusieurs personnes homosexuelles ne vivent pas leur condition sous forme de « dépravations ». Dans le plan de Dieu ces personnes ont beaucoup à donner à la société, mais elles ne sont pas la majorité. Qui vit en Afrique constate amèrement que l’accroissement du nombre de personnes non-hétérosexuelles n’advient pas seulement par l’enseignement du genre à l’école, ce ne sont pas non plus simplement les homosexuelles qui se cachaient auparavant. Ce nombre s’accroisse surtout par la mode, la prostitution, les lobbys, les vidéo clips, les films, les dessins animés, l’argent, les ONG, les sectes ésotériques, les clubs d’amis gays et le fond mondial qui incitent les jeunes à tenter cette nouvelle voie présentée comme « cool ». À travers ce changement planétaire des mœurs est en acte la désacralisation et la neutralisation morale, psychologique, spirituelle et physique de l’humanité. Qui minimise ces faits est déjà sous leur emprise.
Les personnes qui croient encore que Dieu existe, qu’un être humain de sexe féminin est une femme, que la vie est sacrée, que le péché mortel existe, devant un tel panorama, pensent spontanément à Sodome et Gomorrhe. Dans ce temps-là, le manque d’hospitalité et l’homosexualité étaient considérés des « crimes abominables ». Pourtant ces villes les toléraient. Lot, le dernier des justes, avait fait preuve de sa vertu en donnant hospitalité à deux étrangers envoyés par Dieu et en refusant que ces deux hommes soient abusés sexuellement par d’autres hommes du village. Et, après une longue patience divine face à cette génération, voilà la réponse de Dieu : « Le cri contre Sodome et Gomorrhe est bien grand ! Leur péché est bien grave ! » (Gn 19, 20). Après avoir sauvé Lot, « Yahvé fit pleuvoir sur Sodome et sur Gomorrhe du soufre et du feu… depuis le ciel, et il renversa ces villes et toute la Plaine, tous ses habitants et la végétation du sol » (Gn 20, 23-25). Mais de quel feu s’agit-il exactement ? Dans un article de Tommaso Scandroglio du 13 octobre 2021, rapporté sur le site officiel de Radio Maria Italia, « Sodome et Ghomorre furent vraiment incinérées », des chercheurs sont parvenus à une conclusion stupéfiante. Une zone archéologique qui fait l’objet de nombreuses études, située près de la Mer Morte, fut détruite subitement en l’an 1650 av. J-C. Le constat est le suivant : vue la disparition de millions de blocs de terre de cette région, la présence de grains de quartz qui se produisent à pression élevée, matériel de carbone et autres qui ne se produisent qu’à des températures de 1500°, cendre, métal rare présent sur les astéroïdes, les archéologues et géologues de 7 disciplines différentes ont conclu que seulement un météorite venant du ciel et allant à 61 km/heure pourrait avoir généré une telle explosion. Or, cette région est justement l’endroit approximatif où on situe Sodome et Gomorrhe. Ça expliquerait « le soufre et le feu descendus du ciel ».
Cette réponse divine qui utilise un élément naturel pour corriger l’homme, sonne trop drastique à notre génération habituée à un « langage inclusif ». Pour être diplomatiques, nous omettons ce passage biblique qui met mal à l’aise ou nous en changeons l’interprétation. Toutefois, ce récit est là et il nous enseigne que le mal est toujours mal. Le danger d’une société comme la nôtre où différentes réalités doivent s’accepter mutuellement est que le mal se normalise et devienne bien. En Dieu, bien et mal sont incompatibles. Dieu ne met aucune limite à la miséricorde, mais au mal oui. Les choses que nous considérons bonnes ou indifférentes ne le sont pas toujours aux yeux de Dieu et dans la réalité. C’est le regard de Dieu qui nous indique la vérité objective des choses. Si l’hypothèse du météorite est vraie, de quel astéroïde aurions-nous besoin aujourd’hui pour nous ramener à la raison ? Quelle ne fut pas ma consternation d’entendre aux nouvelles qu’il y en a un qui s’en vient réellement ! Cette nouvelle nous interpelle. S’il devait menacer toute la terre, nous saurons pourquoi. Puisque le covid, la guerre, les difficultés d’approvisionnement croissantes et le terrorisme ne suffisent pas pour nous convertir, n’attendons pas cependant qu’un météorite arrive. Ne cherchons donc plus d’inventer des théories pour justifier nos égarements : convertissons-nous tous avant qu’il soit trop tard. « Je vous le dis, si vous ne vous repentez pas, vous périrez tous pareillement » (Lc 13, 3). À suivre.
Chevaliers de la Charité