Entre Dieu et l’argent, que choisir ?
Dans le monde d’aujourd’hui, amasser des biens matériels est une réalité existentielle, qui changent les hommes. Nul ne peut nier qu’on donne plus d’importance à l’argent qu’à Dieu.Cet amour viscéral pour l’argent nous conduit conséquemment à l’idolâtrie et à l’égoïsme.
Dans la mesure où le pouvoir séducteur de l’argent qui, bien vite, nous impose à ceux qui le possède une logique matérialiste faite de cupidité insatiable et d’égoïsme effréné. Sa possession nous transforme en maîtres implacables et en idoles impitoyables. Ainsi, il nous éloigne de l’amour du Maître quand on sait que les richesses ne sont que des moyens limités dont nous disposons pour un temps.
La preuve, c’est que l’argent ne peut pas tout acheter. Certes, il peut acheter des loisirs mais pas le bonheur. De même qu’un crucifix et un banc d’église cependant pas un sauveur ni le ciel.
C’est à croire que nous nous accrochons à l’accessoire en négligeant l’essentiel qu’est l’amour de Dieu envers nos semblables. Cette façon hypocrite d’agir est propre aux humains, et, compromet notre épanouissement voire notre renouveau en tant qu’être.
En prendre conscience, reste l’unique condition, pour que nous ne nous ridiculisons pas souvent, dans notre attachement exagéré au secondaire au détriment du principal.
Ce n’est point un crime d’avoir des richesses. Mais il faut les posséder avec modération quant au fort attachement à notre Maître. Car, si l’on n’en fait pas bon usage, en effet, comment pourra-t-on soulager les nécessiteux en ne regardant pas de quoi venir à leur secours ? En d’autres termes la richesse qui ne s’acquiert pas en amassant pour soi mais plutôt en partageant avec les autres.
Kelly, faith
