Des sons vainqueurs

L’on peut comploter contre le monde mais celui qui l’initie s’écroulera devant nous puisque la mort révèle le vivant dont l’existence est semblable, à l’écoute des sonorités somme toutes diversifiées.
Des sons rimant tous avec des histoires de vie les plus rocambolesques aux plus merveilleuses. S’ accommoder à cette vie utérine sans escamoter le frère consanguin de notre existence est un bel exemple de solidarité et d’union de l’humanité.
On joue ainsi, ces musiques pour ne pas juger l’autre sur ses défauts présents parce qu’on ne sait jamais les qualités qu’il développera demain.

Aussi, composer des textes, vers, qui ne se préoccupent jamais de la vérité ni de la réalité, sont des chants sans valeur. D’autant plus qu’on ne vit pas dans les mêmes réalités que les autres. On ne peut donc comprendre certaines choses car dans moult situations, notre carosserie, c’est notre peau.

Ce qui fait que les mains moites ne tiennent guère un chœur, elles doivent se faire accompagner par tout un orchestre qui lui permettra de passer les messages philharmoniques de nos vies.
Des morceaux qui, à leur écoute nous permettent d’incarner des valeurs de fraternité en ce sens qu’on reconnaît le frère, le vrai dans la difficulté.

Tant on se retrouve dans un système de redevabilité qui ne dit pas son nom que les producteurs d’artistes qui retournent leur veste en devenant nos bourreaux dans cette carrière en nous brimant.
Ils vivent dans un château menant une belle vie dans leur villa dorée en oubliant qu’ils habitaient dans des taudis avant.

Notre loyauté envers eux prend un coup véritablement étant donné que les courtisants dans notre entourage prennent le pouvoir en nous entraînant sur de fausses pistes de danse.
Comme quoi, seuls les girafes mangent les herbes hautes non pas les chèvres. De même, le chien a beau avoir quatre pattes mais ne courent jamais derrière quatre gibiers.

Sachons raison gardée pour aimer les chansons fondées sur de droites pensées afin qu’elles ne constituent pas un poison funeste pour nous envoyer au cimetière.
Et, comme il faut toujours éduquer et évangéliser par nos morceaux aux valeurs susvisées pour sortir vainqueur du combat qu’est la vie.