Merci Seigneur !
Chaque jour, tant qu’on a le souffle de vie, nous devons témoigner notre gratitude à Dieu pour son infinie bonté à notre égard.
Rien n’est alors comparable à la vie humaine en ce sens que l’espoir du quotidien doit balayer notre désespoir. Que l’autre est un frère avant d’être un adversaire non un ennemi.
Qu’il faille pour vivre, se charger d’amour et d’espérance, en cherchant à rassembler nos branches dispersées, qui forgent notre personnalité. Qu’il faut croire aux fruits de l’Esprit comme la fraternité, le devoir et le respect des hommes. Des mots nobles autant qu’ils soient bien placés dans la société, peuvent frappés autant que les poux dans nos cheveux.
Ainsi, notre société est pareille à une jungle, à un camp de concentration sans fraternité où chacun suit son chemin, indifférent à l’autre.
Ceci conduit à une troisième guerre dont on ne sait comment elle sera. Ni combien de gens parmi nous, auront à vivre la quatrième pour tant de vies perdues, abandonnées ou lancées dans des impasses mortelles.
Ces souffrances font que nous ne reconnaissons pas les hauts faits du Maître dans notre vie. Ce faisant, nous tâtonnons comme des aveugles, qui, dansent dans l’obscurité et finissent par casser les plats. Y persister en leur donnant une lampe, ne sert à rien.
Mieux vaut dire merci au Seigneur par l’intercession de la Très Sainte Vierge, en ce mois de rosaire, pour s’en éloigner. Pourvu que la justice et l’égalité s’établissent dans nos relations humaines. Pour des raisons de morale afin de dépasser nos limites par conviction et d’emprunter des voies moins dangereuses.
Ces voies neuves doivent être comprises par ceux qui n’ont plus faim car la pensée et la volonté des hommes sont une force.
