Flash True Love Sex n.23 Genre et homosexualité : parlons guérison
Imagine que tu es un garçon, mais tu te sens attiré physiquement par les garçons. Tu ne sais pas pourquoi. Tu es bouleversé par ce qui se passe en toi. Tu te sens « anormal », différent des autres. C’est le drame que vivent beaucoup de personnes de tendance homosexuelle.
Face à cela, tu as deux choix : chercher la guérison ou te convaincre que c’est normal d’être ainsi. La saine psychologie et l’Église te proposent la première voie ; les lobbies gays et la psychologie contemporaine t’imposent la seconde voie.
La vision naturelle de l’être humain basée sur la complémentarité des sexes voit dans la tendance homosexuelle un dysfonctionnement de la nature. C’est pourquoi, plusieurs sentent une sorte de répugnance envers ces personnes. En comprenant le drame que vivent ces personnes, il serait mieux de parler de compassion plutôt que de répugnance. La psychologie contemporaine de son côté, conclut l’exact contraire : puisqu’il y a des filles qui se sentent attirées par les filles, ça voudrait dire que l’attirance physique n’est pas liée au sexe biologique de la personne. C’est ce qu’on appelle la théorie du genre. Tu peux être de genre lesbienne tout en étant de sexe féminin. Ainsi, le gender est une justification théorique de l’homosexualité, une tentative de normaliser ce phénomène.
Sous la pression des lobbies gays, l’homosexualité fut enlevée de la liste des « maladies psychologiques » et, en août 2009, l’Association des Psychologues d’Amérique (APA) a déclaré qu’il était dangereux de guérir de l’homosexualité. Comme par hasard, parmi les 7 psychologues qui ont conclu ainsi, 6 étaient eux-mêmes homosexuels. Ils ont ainsi « normalisé » leur état à un niveau médical. Mais ont-ils vraiment trouvé la paix qu’ils recherchent ? Depuis lors, on a remplacé sur nos documents d’identité le mot sexe par genre. On a inséré le chapitre « Démocratie, genre et développement » dans les cours d’ECM au Togo.
Mais est-ce à coup de corruption qu’on va convaincre l’humanité que l’homosexualité est normale ? Ne serait-il pas plus épanouissant parler de guérison plutôt que de corruption idéologique ?
La vision naturelle de l’être humain nous assure que c’est justement en alignant le genre sur le sexe – pour utiliser leur langage – qu’on expérimente la guérison. Lorsque ton identité psychologique d’homme ou de femme correspond à ton sexe biologique, tu retrouves l’unité intérieure. Renforcer l’écart conduit à une crise d’identité et, dans certains cas, au suicide. À suivre.
Chevaliers de la Charité
