L’appel à la mission : le service de la parole à la croisée des chemins de notre foi
On ne voit pas la cigarette à la bouche du poisson. Pourtant il fume par deux actions conjuguées du divin et de l’Homme. Ce qui traduit que c’est dans la fraternité et la confiance au Maître, que nous pouvons annoncer la bonne nouvelle. Ce service de la parole nous invite à ne pas se croire supérieur, ni inférieur à quiconque car à vouloir voler trop près du soleil, on se brûle les ailes. Mais, plutôt, à répandre la parole de Dieu dans le monde, en faisant le bien par petits bouts là où nous sommes. Ces petits bouts, qui, joints bout à bout transformeront l’humanité en un monde meilleur pour toujours.
Et c’est en toute complicité avec l’Esprit de Dieu que nous devons propager la bonne nouvelle. Puisque nous passons notre vie à rechercher la perfection. Nous finissons à ne rien avoir car seules, les œuvres du grand artiste, qu’est le Maître, sont parfaites. Ainsi, le service de la parole veut que nous ayons foi en Lui, tout en faisant preuve de miséricorde, et, non de sacrifice. Tant les bien portants n’ont pas besoin de médecin que les malades.
Il faut donc répandre la bonne nouvelle dans l’amour du prochain. Autant la haine provoque les querelles, autant l’amour dissimule toutes nos fautes. Par le service de la parole restons au seuil de la maison du Seigneur au lieu de loger sous les tentes des infidèles, prouvant que l’objectif de ce service est de rejoindre le Maître dans les cieux.
