Flash True Love Sex n. 16Sexe ou genre : Welcome to Babel City !

La diffusion du genre s’insère également dans le cadre de la mondialisation, mais pas n’importe quel type de mondialisation… Dans sa récente encyclique Fratelli tutti, le pape François dénonce que : « L’avancée de cette tendance de globalisation favorise en principe l’identité des plus forts qui se protègent, mais tend à dissoudre les identités des régions plus fragiles et plus pauvres, en les rendant plus vulnérables et dépendantes » (n. 12). Le pape insiste à plusieurs reprises qu’une mondialisation réussie doit respecter l’identité de chacun. Malheureusement c’est le contraire qui arrive : « Les conflits locaux et le désintérêt pour le bien commun sont instrumentalisés par l’économie mondiale pour imposer un modèle culturel unique » (n. 12 ; cf. aussi nn. 51 et 230). Ce modèle culturel unique trouve son représentant principal dans le gender. C’est pourquoi il est appelé par l’ONU la « Nouvelle Étique Mondiale », soit la manière commune de penser et de se comporter à laquelle tous les peuples doivent se conformer.

Dernièrement, une enseignante s’est fait renvoyée d’une réunion de professeurs parce qu’elle n’était pas favorable à ce qu’on enseigne l’option du changement de sexe aux enfants de son école. Le gouvernement de Floride (USA) a également signé une loi empêchant d’enseigner le genre dans les écoles primaires. Malheureusement, les principaux médias occidentaux présentent ce gouverneur comme une sorte de fanatique fermé d’esprit. Pourquoi ? Les médias sont dans la logique de la global governance et, depuis des décennies, l’opinion publique se forge sur la vision libérale et désacralisée de la vie qu’ils véhiculent. Disons-le : plus passe le temps, plus la mondialisation prend l’allure d’une dictature qui s’impose à travers le modernisme, l’athéisme, les médias, le libéralisme et le gender/queer. Les trois derniers papes ont été clairs à ce sujet. Saint Jean-Paul II parlait déjà d’un « nouveau totalitarisme » qui s’impose à un niveau universel ; Benoît XVI dénonçait la « dictature du relativisme » et le pape François reproche la « colonisation idéologique de la pensée unique » qui remet à zéro le patrimoine culturel, moral et religieux des peuples. Paroles puissantes !

Les papes sont « complotistes » ? Cette expression est chère à Wikipedia ainsi qu’aux réseaux sociaux de tendance libérale-mondialiste ; elle détourne l’attention de la vérité. Les papes ne font que dénoncer la direction prise par les politiques internationales depuis des années. Tu peux croire que, « au finish », ça n’aboutira pas, mais nier cette direction c’est nier que la terre tourne autour du soleil.

Nouveau totalitarisme : Le gender fut appliqué par l’ONU sans qu’on définisse clairement le concept de genre de manière à l’imposer sans qu’il soit compris et accepté. On le répand par l’argent et la corruption des moeurs.

Dictature du relativisme : la fluidité sexuelle où chacun erre d’un genre à l’autre comme on change de chemise, c’est le maximum du relativisme !

Pensée unique : On taxe violemment d’extrême droite qui s’oppose à cette idéologie de manière à conduire tout le monde à y adhérer par peur des représailles.

En quelques années, nous sommes passés de « l’hétéro-normativité » comme ils disent à « l’homo-normativité ». Cette tentative de reconstruire le monde sur le gender equality n’est rien d’autre qu’une tour de Babel contemporaine. Welcome to Babel City !

À suivre…

Chevaliers de la Charité

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