Flash True Love Sex n.21 : Genre et surpopulation : la solution de l’Église

Si on veut vraiment avoir moins d’êtres humains sur la Terre, au lieu de soulever la panique climatique et démographique, d’envoyer des conteneurs de préservatifs et lubrifiants expirés en Afrique, de favoriser l’accès à l’avortement, d’offrir l’option du changement de sexe aux enfants et d’euthanasier les personnes faibles, handicapées ou dépressives (10 000 en 2021 au Canada), pourquoi ne pas simplement utiliser le bon sens ? En 1968, l’Église a pris position en nous indiquant une solution plus humaine : l’amour conjugal et la paternité responsable (cf. aussi CEC n. 2368). S’aimer et être responsables de ce que l’on fait. Saint Paul VI explique dans l’Humanae Vitae : « Le mariage n’est pas l’effet du hasard ou un produit de l’évolution de forces naturelles inconscientes : c’est une sage institution du Créateur pour réaliser dans l’humanité son dessein d’amour » (n.8). L’amour conjugal ne se réduit pas à un « simple transport d’instinct et de sentiment, mais surtout un acte de la volonté libre, destiné à se maintenir à travers les joies et les douleurs de la vie ». C’est un amour fidèle, exclusif et fécond, « qui ne s’épuise pas dans la communion entre époux, mais qui est destiné à se continuer en suscitant de nouvelles vies » (n.9).

La paternité responsable. Il s’agit de « l’espacement des naissances pour de justes raisons » (CEC n.2368), en utilisant des méthodes naturelles qui respectent le véritable amour et la dignité de l’acte sexuel. Malheureusement la plupart des méthodes artificielles s’inscrivent dans la logique égoïste de la global governance.

Ainsi, pour être humain, l’acte sexuel doit donc se situer dans le contexte d’un amour conjugal mature, responsable et fidèle. Éduquer à cet amour c’est « régulariser les naissances » beaucoup plus qu’éduquer au libertinage sexuel comme il advient avec les préservatifs. Il est vrai que la méthode de l’Église paraît moins efficace à court terme que les méthodes citées au début, mais les pays comme l’Ouganda qui ont investi sur l’éducation à la maîtrise de soi, a obtenu de meilleurs résultats pour diminuer le taux de sida et de grossesses que le « sex and condoms » occidental. Pourquoi alors ne pas choisir la forme d’éducation la plus authentique ? Chrétiens ou non, nous savons tous dans le fond de nous-mêmes que la méthode de l’Église est celle qui respecte le plus le bon sens et la dignité humaine. À suivre.

Chevaliers de la Charité

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