Never give up

Les signes précurseurs du salut sont perceptibles dans nos vies. Qu’il s’agisse de la persévérance, de la prière insistante, la patience et l’humilité, notre vie est comparable à un grand arbre que la tempête secoue sans jamais être déraciné.

En tenant serrées entre nos mains ses branches, on reste accrocher à lui, jusqu’à ce que les vents, l’orage se calment et qu’ils ne nous ouvre pas la bouche car c’est le Maître qui agit. L’épreuve, pour un homme, c’est le moyen de se connaître et de grandir dans la foi car les yeux qui ont déjà vu couler du sang, n’ont plus peur des larmes. Sur ce chemin de la foi, la souffrance, le malheur et l’injustice font briller le diamant qui est au cœur du chrétien. Ils n’écrasent que celui qui n’a rien en lui.Cette croyance au Maître nous fait surfer sur les vagues de la persévérance. Elle nous permet de croître spirituellement sans oublier ce qui précède notre parcours. Se dégager la voie pour mieux voir l’horizon et atteindre cet objectif.

C’est le but d’être soi, d’aller vers les autres comme la source va vers la mer par notre prière insistante pour que l’obscurité et la mort n’aient pas le dernier mot.

Prier aussi pour sa bonté qui se révèle chaque jour à notre personne parce que le Maître nous donne la santé, nous garde sous son aile par ses tendres soins en tenant à sa promesse. Celle de pourvoir à nos besoins au jour le jour. Ainsi, nous voyons combien il est fidèle. Prions et louons le sans cesse Dieu, notre Seigneur!

En Dieu nous croyons en agissant avec notre Reine Mère, Marie. Celle qui nous a fait don du Christ, de la joie, la vraie, qui est éternelle. Par elle, nous cueillerons les fruits de notre persévérance tant nous nous réjouissons de l’aboutissement d’une chose que des prémices. Comme quoi, un esprit patient vaut mieux qu’un esprit prétentieux. De ce fait la fin justifie toujours les moyens démontrant que la patience est un chemin d’or.

Qui est épris de patience porte ainsi en lui, la semence de l’humilité. L’humble est comme une abeille, qui, est certes, la plus petite des êtres ailés. Mais ce qu’elle produit est ce qu’il y a de plus doux. Ce qui la fait siéger au milieu des grands.

Il ne faut donc jamais abandonner quelles que soient les péripéties de la vie. Puisque l’autre n’est toujours pas un ennemi mais un adversaire, un allié possible.

Il est un obstacle, une résistance qui nous oblige à accéder à une autre dimension de nous-même que nous ne connaissons pas. Tout ce que nous n’avions pas conquis, notre véritable nature.

Tout ce qui nous empêche d’atteindre trop tôt, ce que nous ne saurions assumer. Il va de soi, que, celui qui nous combat peut nous aider. Et Chacun doit tirer de l’adversaire, un enseignement, une leçon.