Nyonato monlo

On qualifie de mal, ce l’on réprouve et qui fait souffrir. Le mal suppose une intentionnalité mauvaise, destructrice.

Il est de tous temps, relié à la religion. Dans la religion chrétienne, le mal est personnifié par le diable, lié à l’imperfection de la créature humaine et au péché.

Ce qui présume que le mal est métaphysique ayant une existence propre. C’est un préconçu indémontrable, qui est mauvaise pour l’homme.

C’est dire qu’est mal, ce qui provient, sort de nous. Ce qu’on entretient, forme en notre fort intérieur. Ainsi, quand on s’exclame le plus souvent en commettant une indignité <<C’est l’oeuvre de diable!>>.

Il n’en est rien car il existe des gens qui ont plus que deux yeux, qui connaissent la lumière des autres et font tout pour l’éteindre la société.

Et certains, ne peuvent pas s’empêcher de nuire à leurs prochains parce qu’ils sont  foncièrement méchants et qu’ils ne veulent pas voir avancer l’autre dans sa vie.

Haïr quelqu’un qui va à pieds. Détester celui qui roule une bagnole car on prétend toutes leurs qualités et richesses proviennent d’un esprit maléfique ou de leur appartenance à une secte exotérique. Tout ceci montre que notre premier réflexe dans la vie, est de penser au malheur en toute circonstance.

Or, la où il y a le mal, le bien se profile à l’horizon. Là où rôde le malheur, le bonheur n’est pas loin.

Puisque le Maître nous donne toujours deux options, l’eau et le feu, ou encore la vie et la mort. A nous, d’en faire un choix judicieux.

Le mal n’est donc pas un don de Dieu. Le choix est clair, on doit faire du bien pour emprunter le chemin du bonheur. En avoir le coeur net par respect aux lois de Dieu, doit être notre ultime volonté. Et, cela passe par l’amour envers nos prochains.

In fine, le chemin du bonheur s’apparente à la route des Hommes droits qui se détourne du mal tout en s’accrochant au bon sens. Même si aujourd’hui, le bon sens n’est plus la chose la mieux partagée. Et, que la loi n’a plus de vie, la justice n’a plus de force.

Il faut tout de même se rendre à l’évidence que dans cette vie, si l’on donne le bon exemple, fait le bien, nous ne serions pas soumis au mal, aux lois et règles iniques des Hommes.

Autant il n’y a point d’oreillers plus doux que notre propre conscience. Autant on ne fait pas toujours ce qu’on veut. Puisqu’on responsable de ce que l’on est.

Kelly, faith

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