Lâchons prise pour se mettre en route
C’est de la préférence et de l’indifférence que le mépris prend vie entre les hommes. Ce qui fait qu’on est braqué, accroché à nos famille, richesse, pouvoir et égo. Or, tout ceci n’est que terrestre. Nous pouvons y remédier en changeant la donne par l’entraide du fond du cœur.
Tant les hommes ne peuvent changer les maux qu’ils changent les mots.
Toujours est-il que nos paroles ne nous définissent pas. C’est plutôt nos actes qui nous différencient dans la société car ils accompagnent jusque dans la tombe.
Faisons tout de même attention aux gestes jamais aux mots. Car, seuls les gestes comptent montrant la voie à l’homme dans sa vie. Autant les mots trompent souvent. Autant ils nous caressent dans le sens des poils conduisant nos âmes au ciel comme si la terre n’existait pas.
Remettre le métier sur l’ouvrage demeure la seule manière de survivre dans ce bas monde. Transmettre ce qu’on y apprend au jour le jour reste l’antidote à notre désespérance. Malgré que la route nous y amenant soit semée d’embûches, nous ne devons pas dire que ce n’est pas le bon chemin pour faire briller notre étoile voire éclore notre potentiel afin d’accomplir la mission pour laquelle nous sommes sur terre.
C’est vrai en plus qu’un mauvais jour ne doit pas signifier la fin de notre vie. Et, que le pauvre cherche à manger tandis que le riche cherche l’appétit.
L’opulent à cet effet, doit savoir qu’il est assez « Grand » pour marcher sans piétiner le miséreux car le seul bonheur qu’on a, vient du bonheur que l’on donne aux autres.
Au finish, on comprend que la nécessité de se mettre en route fait loi et foi. Quand nous avons faim à cause du manque d’argent, et, qu’on est prêt à tout pour avoir ce précieux césame en perdant notre dignité, peut nous être suicidaire.
Rappelons-nous qu’aussi loin que nous allons, qu’aussi haut que nous montons, l’on doit toujours commencer par un pas en terme de pouvoir dans nos communautés.
