La crainte de Dieu, bien suprême
Celui qui craint le Maître accueille sa sagesse et sa faveur. Aussi, reconnaît-il, ce qui est juste, telle une lumière, qui, fera briller ses bonnes actions.
La richesse et la force donnent confiance. Mais plus encore, avec la crainte du Seigneur, rien ne manque. Il n’y a même plus à chercher de secours.
Voilà pourquoi, la crainte de Dieu est un bien suprême. Elle est comme un jardin luxuriant et mieux que toute gloire, elle protège. Si et seulement si, avant la gloire, il y a l’humilité.